• Désintégration de l'ego et vibration

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    Désintégration de l'ego  et vibration 

     

    Le passage d’une rupture à travers l’occulte des jeux de la forme... 
    Certaines personnes amenées vers la fusion devront vivre une déchirure, à un niveau ou un autre, afin d'être réinvitées par la suite à mieux collaborer et à mieux vivre dans le temps de leur esprit.

    Dans le phénomène de l'intégration, la fracture, la cassure sert à la destruction des formes à cause du décalage entre l'esprit, l'astral de la pensée et la conscience progressive de l'ego.

    C'est une interruption dans le temps à cause d'une trop grande identification à une quelconque forme. Donc, un arrêt, une suspension s'impose, afin que l'énergie de la forme soit décodée et intégrée par l'ego qui souffre de ce passage.

    Ainsi l'ego rencontre un point mort, face à sa vie personnelle, sa vie sociale, son travail, son bien-être personnel et ainsi de suite.

    Donc, la tension ressentie vibratoirement dans la forme crée une rébellion chez l'ego, et ce dernier la subit psychologiquement, car son attitude de survie, son attitude à s'identifier, à se greffer à la forme, doit être traversée et dépassée par le phénomène de la souffrance où il sent sa vie s'arrêter.

    C'est dans les états de chagrin, de douleur, de souffrance, de déchirement et de misère que la forme est transmutée. Mais ce passage affecte la vie psychologique de l'ego, car il semble avoir perdu son temps. La destruction des formes et la souffrance de la lenteur du temps vont de paire.

    Dès lors la discordance, l'incompréhension, la friction, l'incompatibilité règnent en maître. C'est le processus psychologique de la désintégration et non de l'intégration objective derrière le jeu de la forme.

    L'avènement supramental est robuste, il est fait pour durer, il doit être vu comme l'installation d'un nouveau système de décodage qui prendra son envol à travers les années. Il n'est pas faible et n'a pas besoin d'être défendu, bien au contraire.

    L'homme qui se conscientise doit se protéger de cet avènement et ne pas le subir pour son propre bénéfice relié à sa souffrance psychologique. La conscience évoluée de l'homme ne changera pas l'avènement de ce nouveau système, qui prendra place avec lui dans son temps. L'homme est aussi fort et aussi puissant que cet avènement.

    Mais l'avènement a beaucoup plus de mémoire réelle que lui. L'avènement n'est pas terrible, l'ego le rend terrible en essayant de le défendre de toutes les manières, croyant ainsi en faire partie.

    Certaines personnes amenées vers la fusion devront vivre une déchirure, à un niveau ou un autre, afin d'être réinvitées par la suite à mieux collaborer et à mieux vivre ensemble dans leur esprit et non plus de manière philosophique.

    Donc, la déchirure planétaire devra se faire entre ces personnes marquées pour un niveau de conscience supérieure, et le passage temporaire d'une forme vers une autre n'est qu'un simple passage afin que le corps émotif soit rééquilibré. Et c'est à l'ego de se rééquilibrer lui-même, sinon il demeurera coincé dans la forme, croyant que la souffrance reliée à la forme cessera, et c'est justement là son illusion.

    Ce passage est inévitable pour l'ego, car le karma et la déprogrammation doivent être faits, afin que l'esprit reprenne sa place dans la nouvelle vie de l'ego conscientisé par la désintégration de ce à quoi il s'était identifié afin de se sécuriser psychologiquement.

    Lorsque la relation karmique entre l'ego et son plan de vie de l'âme est de plus en plus affranchie à travers la désintégration des formes, l'ego est amené à un autre niveau de conscience.

    Vivant objectivement ce point de rencontre, la volonté et l'intelligence de l'ego deviennent libres du connu et deviennent donc une base sur laquelle il reconstruit son nouveau lien, c'est-à-dire esprit et matière, où la forme servira d'intégration et de décodage. Ainsi, l'ego s'éduquera de lui-même, de son lien avec sa propre intelligence, c'est-à-dire, son esprit qui est derrière la forme, mais non occulté comme auparavant.

    L'intelligence et la volonté chez l'ego doivent prendre le contrôle de sa nouvelle vie. Ce passage doit conduire l'esprit à prendre le contrôle chez l'ego, c'est-à-dire, en arriver à ce que l'ego prenne son envol, prenne son individualité.

    Le blocage existe dans la désintégration des formes et ce n'est pas une illusion. La souffrance, la déchirure et le point mort dans la vie de l'ego ne sont pas des illusions. Le blocage est nécessaire, car l'ego-forme a la tête très dure.

    Si le blocage était une illusion, il ne pourrait y avoir de désintégration des formes pour intégrer une vibration au-delà de l'ego psychologique. Les événements ne sont pas bloqués inutilement dans l'expérience de l'ego psychologique.

    Les formes utilisées pour amener l'ego à la désintégration ont une grande importance et l'ego qui ne sait pas reconnaître ce passage inévitable du point mort astralisera psychologiquement que les formes utilisées pour la désintégration n'ont pas d'importance.

    C'est toujours l'ego qui veut avoir subtilement le contrôle sur la forme.

    L'ego aime se mentir, se disant qu'il n'y a pas de blocage, que c'est une illusion et que les formes n'ont pas d'importance. Tout a de l'importance puisque c'est le mouvement de l'énergie qui passe dans tout.

    Il est trop facile de dire qu'il n'y a pas de blocage dans la forme. Cette attitude amène astralement l'ego à ne pas vivre la désintégration complètement, et il passe à côté du point mort, qui n'est pas une illusion, puisque sa vie est affectée de tous les côtés par la rupture de la forme qui le conduit à la désintégration d'une forme dans laquelle il avait pris subjectivement une identification.

    La personne qui vit un blocage devra le reconnaître dès le début, sinon la souffrance psychologique, simplement vécue, ne permettra pas le passage du point mort. L'ego croit toujours tout contrôler, mais il ne pourra pas contrôler l'avènement du point mort.

    L'ego n'a pas de vision objective, car il interprète le point mort comme étant inexistant psychologiquement, afin de conserver astralement la blessure souffrante de sa déchirure face à une quelconque forme qui doit être retirée de sa vie subjective.

    L'ego vit toujours psychologiquement l'impression d'un blocage. La raison est qu'il perçoit l'événement à partir de son mental inférieur. Si l'ego ne peut éliminer l'impression du blocage psychologique, il réagira face à l'événement au lieu de défaire par le blocage ce qui a été mal fait dans son passé.

    Tant qu'un ego vit subjectivement cette désintégration, il ne pourra jamais voir le jeu qui se joue à travers la forme, car au lieu de s'impliquer, il ne sera que l'observateur.

    Dès lors, il vivra plutôt la honte et la culpabilité face à ce qu'il interprétera subjectivement comme étant un échec, et il cherchera à l'extérieur qui lui a bloqué la vie, au lieu de réaliser que sa vie n'est pas bloquée de l'extérieur, mais qu'elle est belle et bien bloquée de l'intérieur par son propre refus égoïque d'en saisir l'opportunité et d'avancer de par lui-même vers le point mort.

    En réalité, cet échec n'est que l'interprétation subjective d'un ego qui tente de survivre dans sa mémoire polarisée, mémoire qui est projetée à l'intellect qui, par la répétition de patterns, tente de survivre dans la souffrance psychologique. Une souffrance psychologique dans laquelle il se débat comme un diable dans l'eau bénite mais qui devrait le conduire vers du nouveau.

    Désintégrer la mémoire mentale, intellectuelle, psychologique, émotive et physique de l'énergie contenue dans la forme utilisée, pour en faire sa propre expérience et en reprendre l'énergie, veut dire INTÉGRATION face aux formes utilisées dans lesquelles il y a eu identification.

    Il faut absolument désintégrer la forme pour intégrer l'esprit de l'énergie, car sans désintégration, brisure, déchirure, il ne peut y avoir intégration, car pour intégrer, il faut reprendre l'énergie stockée dans la forme.

    La rupture crée toujours un point mort à l'intérieur de soi, et ce point mort indique l'identification mentale, vitale (émotivité pour la forme bien ou mal), émotive, dans le sens de ce que son expérience a laissé comme trace sur le subconscient (de là l'attitude mentale psychologique de l'ego) et physique, c'est-à-dire le mouvement, l'action concrète vers le point de rencontre pour intégrer l'expérience.

    La désintégration s'effectue sur les quatre plans de l'expérience humaine. Si un des quatre plans fait défaut, il ne peut y avoir désintégration de la mémoire de l'expérience, donc de ce fait, l'énergie demeure dans la forme et laisse la porte ouverte à la pensée subjective astrale.

    Maintenant, cette désintégration n'est pas sous le contrôle de l'ego, car les événements de ce point de rencontre vers le point mort proviennent des forces réelles de la vie qui sous-tendent l'expérience psychologique humaine de l'ego planétaire.

    — Michel Dow

     

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    Etude portant sur la vibration 
    Quand la forme ne chevauche plus la raison, quand il n’y a plus d’obstacle dans le mental, la lumière prend un autre chemin et le processus de traitement de l’information est modifié. Le mental cherche alors la forme la plus légère, la plus infime, la plus claire et la plus conforme pour s’exprimer. Le processus de traitement de l’information n’a plus de filtre. Il n’y a plus de censure par la réflexion. Le mental n’en a plus besoin, l’information est lumière sans distorsion. Elle se transmet par vibration.

    La vibration c’est :

    • L’inconnu.
    • La plus haute complicité avec l’esprit.
    • La grandeur de l’Être développé. Autrement, il reste enveloppé.
    • La plus haute donnée dans la relation, dans l’échange.
    • L’absolu manifesté sans obstacle.
    • La rencontre des sommets.
    • L’anarchie domestiquée.
    • Le périple de la conscience.
    • La visite inattendue mais souhaitée.
    • Le plus grand ennoblissement de l’Homme.
    • La limite de la survie.
    • Le statut premier de l’Homme.
    • La phase de conscientisation sans rémission.
    • L’absolu rendu disponible.
    • Lorsque la source ne s’étonne plus d’elle-même après avoir inventorié tous ses possibles, 
    après avoir franchi tous ses obstacles fallacieux se dressant contre sa propre lumière.
    • La plus belle des données terrestres.
    • L’échange expiatoire sans précédent : le démembrement, l’expulsion et la désintégration 
    des formes antérieures obstructives et dépassées.
    • Le plus grand ensemble ouvert de la création.
    • L’hégémonie du particulier sur le collectif.
    • La plus heureuses des rencontres avec l’absolu.
    • Le choix de l’impossible.
    • La rencontre des rencontres.
    • Ce qu’il faut faire, dire et être pour Exister.
    • La forme la plus précise et la plus subtile de renseignements.
    • Le langage de l’origine.
    • La parfaite adéquation avec l’absolu.
    • Le fait de ne rien manquer, jamais.
    • La plus pure des communications.
    • Un représentant de l’impossible.
    • Le ‘’Remettez cent fois votre travail sur le métier’’ périmé.
    • L’exactitude la plus profonde.
    • La matière première de l’universel.
    • Quand les chances ne sont plus des probabilités ou l’incertitude résolue sans condition.
    • Là où la résidence des concepts ne comporte plus de fermeture.
    • Quand le désarroi ne tient plus la route.
    • Une haute définition qui se renouvèle constamment.
    • Une chambre ne comportant aucun impossible.
    • Un aléatoire parfaitement unifié, harmonisé, coordonné.
    • Un engagement sans parti pris.
    • Une impossibilité de s’asseoir dans la polarité, la partialité.
    • Le changement apprivoisé.
    • Une modulation de la volonté supérieure.
    • Un entracte à la connaissance.
    • La libre circulation des essences.
    • La sensibilité à la perception.
    • La sécurité assurée et non l’insécurité assurée.
    • L’approbation de l’absolu et sa participation.
    • Le jeu de l’avenir mis au présent.

    Les mécanismes suivants favorisent la vibration et l’approfondissement de la capacité vibratoire 
    par l’appareil de conscience :

    • La reconnaissance de soi permet de former un embryon d’Êtreté.
    • La totalité, la continuité de conscience entre l’esprit et la matière.
    • L’alignement et la tutélarisation des cellules par la lumière.
    • Le désembourbement des nœuds énergétiques favorisant une circulation fluide.
    • La relation de cause à effet entre la vibration et la disponibilité du mental.
    • La capacité du mental à absorber la multidimensionnalité.
    — Denis St-François

     
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