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    L'Amour 

     

    L'Amour 
    "L’amour est une émotion que la femme sait rendre parce qu’elle est dédiée par nature au don de soi. Il est pour elle beaucoup plus que simple passion, il représente aussi le don d’elle-même, à travers une panoplie d’actes que l’on ne reconnaît - à leur juste valeur - que dans la mesure
    où l’on respecte son esprit. L’amour la trahit facilement, car elle s’identifie inconditionnellement à lui, au lieu d’entraîner son être à le reconnaître selon une mesure dont
    elle détient la clef. Tant que l’amour lui créera l’illusion d’une sécurité sans revers, il sera passible de lui infliger de la douleur, car il signalisera qu’elle idéalise son rapport intime avec l’homme. Tant et aussi longtemps qu’elle dépendra aveuglement de l’amour - comme levier
    inconditionnel dans la vie - il lui sera difficile d’identifier la nature fondamentale et karmique de son illusion. Les sentiments de la femme sont trop sincères et profonds pour être mis en gage sur la roulette d’une vie conjugale contrôlée par un croupier inconscient et souvent brutal. 
    Elle doit à tout prix conquérir son indépendance psychologique, afin de réévaluer son infatuation
    avec un sentiment qui ne lui conviendra parfaitement, que lorsqu’elle aura empire sur ce qui la domine. Elle ne pourra plus, alors, être persuadée impunément de la sincérité de son partenaire.
    Ce jour poindra lorsqu’elle comprendra que ce dernier la poursuit avec des intentions qui découlent largement de ses besoins avant tout, alors qu’elle se laisse conquérir par amour pour lui. Mais son amour est trop souvent sans maturité : Son empressement à aimer et à se laisser étreindre dans ce sentiment, sont des conditions insuffisantes, à long terme, tant que la conscience féminine n’est pas protégée par une psychologie qui la favorise en temps de crise.
    Pendant l’involution : C’est-à-dire, cette période millénaire durant laquelle elle fut dominée par l’homme et ses institutions matérielles et spirituelles, l’amour fut à la fois son soutien ainsi que son châtiment, car il n’avait pas été sanctionné par une intelligence de la liberté et des droits qui en découlent. Durant la longue histoire de domination de l’homme sur elle, l’amour fit d’elle une victime plus souvent qu’une bénéficiaire. Il fut le miroir de son impuissance psychologique,dans une société où le droit du mâle sur elle, ne pouvait être rompu que par elle. C’est à travers l’amour, que la femme se rend compte de la facture que la vie lui réclame, lorsqu’elle ne s’est
    pas rendue à l’évidence, que la manière de le vivre intelligemment, dépend de sa capacité de s’en affranchir sans trop de traumatisme lorsqu’il est déchu. Le travestissement de l’amour se résume à lui faire croire qu’il est unique, sans réplique, et incassable.
    Cette illusion est en voie de transformation dans les pays plus évolués, où la femme dispose de plus grands moyens pour se libérer de conditions de vie, qui font fi de sa réalité personnelle, au profit d’une réalité sociale ou religieuse, qui ne conviennent plus à l’émancipation de son être.
    Il faut voir que les religions ont disposé trop longtemps de la manière dont la femme devait véhiculer ses sentiments, dans des sociétés plus ou moins modelées selon des critères émanant de sphères cléricales découplées de la réalité féminine. Les religions ont fait de la femme une esclave de l’homme en lui reprochant une trop grande beauté. Le peu d’esprit que l’homme pu lui apporter en échange, fit en sorte qu’elle fut grandement défavorisée. Heureusement qu’elle
    seule peut enfanter, ce qui lui permit de s’assurer une certaine légitimité, dans des sociétés livrées à toutes les ivresses masculines, sans parler des pourfendeurs qui, à toutes les époques et pour toutes les raisons valables ou imaginées, voulurent la restreindre. Dans certains pays du
    tiers-monde, la femme ne dispose pas encore de suffisamment de moyens pour se libérer, car la
    religion et les mœurs qu’elle a engendrées, exerce un pouvoir discrétionnaire sur les populations
    féminines dénuées de droits réels.
    Bernard de Montréal - La femme - page 9
    Bernard de Montréal - La femme - Chapitre 3 - L’amour
    Dans ces pays, les populations mâles agissent comme des confréries hors limite à la femme qui, la première, les feraient éclater si elle exerçait en toute liberté ses options individuelles.
    Certaines religions empoisonnent l’esprit du mâle et sanctionnent l’absurdité. Le modernisme ne peut être endigué, puisqu’il contient tous les éléments de base nécessaires à la liberté individuelle. Voilà le seul espoir pour l’élimination des dictatures religio-politiques qui renferment la femme dans une prison dorée, lui laissant croire que tout ce qui est à l’extérieur
    est sale et sombre. Cet endoctrinement malveillant, ne résistera pas aux générations futures qui
    feront la part des choses, à la suite des profondes altérations de la conscience mondiale apportées par des technologies nouvelles et irrécusables. La technologie de l’information et de
    la diffusion de l’image est un engin puissant, que même la plus anciennes des églises ne peut refouler.
    Si l’amour - souvent commandé et enrégimenté - marqua pour la femme ancienne, l’épisode inachevé de son expérience évolutionnaire, l’avenir le transformera dans un medium
    d’expression libre de l’abus de sa personne. Moins stigmatisée par ses démarches récalcitrantes
    et l’insoumission, elle le vivra un peu plus comme l’homme le vit, c’est-à-dire, selon son bon plaisir. Mais pour découvrir qu’elle possède, elle aussi, tous les attributs et fortunes de la liberté, il lui faudra s’avouer qu’elle peut se passer d’un amour vicié, dans la mesure où elle reconnaîtra que sa personne est davantage plus importante que les prescriptions proposées par des mœurs et des religions, qui retardent l’évolution de l’être au profit du pouvoir des communautés et de
    leurs confréries. La femme devra définir son amour au lieu d’être définie par lui. Ceci lui permettra de choisir au lieu de subir, et par la suite, prendre conscience d’elle-même. Dans le
    cas contraire, il demeurera un ramassis de sentiments d’où ne jaillira aucune lumière. Elle doit réévaluer sa conception de l’amour à la lueur d’une intelligence libérée des empreintes du passé.
    Sinon, elle ne pourra refaire sa vie et lui donner un but optimal qui lui revient de droit. La femme doit mettre un terme à l’expérience de l’amour comme étant la somme totale et finale
    de son expérience. Sa vie doit être mesurée, et tant que la mesure ne lui convient pas, il est de son ressort et de son devoir d’en corriger les lacunes. Dans le cas contraire, elle prolongera la souffrance et l’incompréhension et s’éteindra sans avoir su réagir aux us et coutumes."
    Bernard de Montréal 
    extrait du livre la Femme 
    Chap3 L'Amour

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    La  sexualité  au  féminin 

     

    La sexualité au féminin 
    "La sexualité permet à la femme de mesurer le degré d’enveloppement de sa conscience par le
    mâle lorsque l’orgasme la noie dans l’incontournable sentiment de liberté qu’offre une expérience réussie, avec un partenaire sensible et bien harmonisé. 
    La sexualité féminine revêt un caractère particulièrement maternel contrairement aux apparences très sexuées de la femme dans l’intimité de l’acte. 
    De par sa sexualité, la femme démontre combien elle fait confiance et combien, dans un même temps, elle s’expose la déception. Elle tente dans la sexualité de se
    prouver que celui avec qui elle fait l’amour est à la hauteur de son éthique sexuelle, alors qu’elle reconnaît au fond d’elle-même, la possibilité d’un enjeu illusoire, d’une partie de dés, tant qu’elle n’aura pas identifié chez l’autre, une pulsion amoureuse - et non simplement sexuelle -
    identique à la sienne.

    Il faut reconnaître la complexité de l’être féminin et le voir dans un mode contrastant, pour discerner dans sa sexualité la complicité et à la fois, le don de soi. La complicité lui permet
    d’accentuer ses talents, de faire miroiter ses atouts. 
    En réalité, cet amour, cette abondance, cet abandon vertigineux ne sont pas au profit de sa seule nature animale, mais davantage une mise de côté ciblant une union possible.

    Sur l’autre plan, le don de soi fait partie de la conscience de
    la femme en amour, car son corps reçoit les affronts de la sexualité masculine, lorsque l’amant n’a pas suffisante conscience de sa délicate nature.
    Le don de soi est l’inévitable résultat du conflit millénaire entre la proie et la chasse, extension des mouvements fondamentaux de la nature animale, dans ses aspects les plus rudimentaires.
    Sur un plan plus évolué, la conquête brutale fut remplacée par le don de soi, car la femme se réserve le droit de refus, sauf dans le viol. La femme n’aime pas qu’on la traite de manière
    cavalière, mais elle approuve qu’on lui fasse signe, afin de sentir qu’elle plait toujours. 
    Quand la femme s’ennuie, la sexualité revêt un caractère secondaire, car elle doit débattre en elle même
    la valeur de l’acte contre son état. Dans l’intimité de l’acte, la femme projette l’abondance, mais dès qu’elle est seule, elle se sent appauvrie, si elle ne se sait pas vraiment aimée. Lorsque la femme est en amour, c’est la folie douce. Son esprit ne s’ennuie plus."
    Bernard de Montréal 
    Extrait du livre la femme
    la sexualité au féminin

     

     

     

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  • UNTERFACE

    INTERFACE  

    Méthode de communication efficace 

     

    Modèle - communication

    INTERFACE
    Bernard de Montréal

    Le principe de l’interface, est accompagné de plusieurs conditions, dont voici les principales :

    -Les personnes en présence doivent avoir une grande
    ouverture d’esprit.
    -Ils doivent se respecter mutuellement.
    -Une personne parle à la fois.
    -Les autres personnes doivent avoir une écoute active.
    -Lorsque la personne qui parle termine son discours, une
    autre personne ajoute sur ce qui a été dit et ainsi de suite.
    -Les personnes parlent seulement si elle peuvent ajouter au
    sujet traités.
    -On ne doit pas se raconter (je le comprends dans le sens d’éviter la subjectivité).
    -On ne doit pas couper une conversation, on doit attendre
    son tour.
    -Une conversation à la fois.
    - On doit parler sans penser. ◀️ 

    Transmis par Isabelle Lizotte 

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  • L'Amour  -  Conférence privée

    L'Amour 

    Conférence  privée  de  Bernard  de  Montréal 

     

    Conférence privée BdM - 1995

    L’amour, ce n’est jamais dans la parole, c’est toujours dans l’action. Dans la parole il y a trop de subversion, trop de propagande. La plus grande preuve d’amour c’est l’argent, la maladie, ou la souffrance. Aider quand malade, c’est l’amour, prêter quand besoin, c’est de l’amour. L’argent, soulève la concupiscence de l’homme. C’est une valeur dont l’homme ne se départage pas facilement parce que c’est connecté à sa survie matérielle. Si une personne vous aime, l’argent n’a pas d’importance pour elle car elle ne soulève pas des passions.

    La maladie : c’est un test à long terme pour évaluer la patience que tu as pour elle.

    La souffrance : c’est là que vous pouvez tester si vous avez de la compassion intelligente (pas celle de l’église catholique). Tu es capable d’évaluer la mesure de sa souffrance (dans la mesure où la personne est capable de s’aider, il ne s’agit jamais d’être victime dans l’amour.

    Le résultat des tests permet de voir qui on aime, ce n’est pas une stratégie. S’il y a une stratégie, tu peux aimer n’importe qui. Tu testes, tu élimines. Aimer par stratégie, c’est du vol, c’est du viol.

    Si tu as beaucoup d’identité, tu vois à travers le monde. Tu peux découvrir l’insalubrité de leur nature. À un coureur toujours malade, manque toujours d’argent, qui souffre toujours : il y a karma là. Le facteur karmique va être impliqué un certain temps, et le temps sera déterminé par la nature de votre émotivité. Ça vaut peut-être 20 ans ensemble. Vous allez courir avec le coureur pendant un certain temps, mais quand vous réaliserez que vous subissez le karma de l’autre, vous coupez.

    Vous ne pouvez pas aimer n’importe qui parce que vous allez être obligé de restreindre votre intelligence. Il vient un jour où ton énergie, tu peux l’utiliser à bon escient, parce que tu es fatigué. Quand tu es rendu fatigué, tu n’as plus le goût d’aimer parce que tu n’as plus le goût de recommencer, parce qu’aimer c’est un contrat à vie. Tu n’as plus le temps de revivre le processus. Tu ne peux plus traîner un boulet de canon. Quand un des deux vieux meurt, l’autre suit dans peu de temps parce que c’est un contrat à vie. L’esprit n’a plus de raisons d’exister. Plus vite vous allez apprendre dans la vie à ne pas aimer n’importe qui, plus vite vous allez vous enrichir. Il y a une relation entre l’abondance et l’amour. Quand vous commencez à ne plus aimer une personne, vous devez commencer lentement à vous dissocier d’elle.

    Ce qu’il faut pour aimer : il vient un point où l’esprit de la personne que tu aimes. C’est son esprit qui met de la lumière dans ta vie. Si tu aimes l’esprit d’une personne, tu ne lui vois plus de défauts. Dans l’amour mental, c’est permanent. Ne pas voir de défauts ne veut pas dire être aveugle. Ce n’est que l’esprit que tu regardes, pas les défauts. L’esprit c’est une intelligence qui nous convient. Tu peux aimer quelqu’un facilement qui a une conscience qui se développe, qui a de l’esprit ou un peu d’esprit. On aime un enfant pour son manque d’esprit (c’est tellement cute). Tu ne peux pas aimer un enfant parce qu’il n’a pas de conscience mentale. L’esprit n’est pas quantitatif. On ne peut pas aimer quelqu’un qui ne nous donne pas la répartie. On ne dit pas ‘je n’aime pas son esprit’, on dit ‘son esprit ne nous donne pas le change’. Les gens qui ont de la difficulté à s’aimer entre eux autres, c’est qu’ils n’ont pas perçu un registre d’échange. Il y a différentes sortes d’échange. BDM sait pourquoi il aime. Les gens ne le savent pas. Si tu invites quelqu’un à ton party qui n’a pas la valeur d’échange, il va fucker ton party.

    Richard a une grosse vibration. Ces gars-là, il faut que tu les rentres dans le mur, tu ne peux pas être doux avec. Tu dois donner la valeur du choc en relation avec la grosse vibration. Tu dois aimer l’esprit et tolérer l’âme parce que tu sais qu’à un moment donné elle aura de l’esprit. Même Pierrette a de l’âme, mais beaucoup d’esprit. On peut haïr l’âme, pas les individus. Si BDM n’aurait pas aimé sa femme, il n’aurait jamais appris à contrôler son énergie.

    Il y a des règles de mixage d’âme. On appelle ça la culture. Les âmes s’associent par culture. L’esprit s’associe par vibration. Tu rentres dans une vibration quand tu es libre de la culture.

    Aimer n’importe qui c’est comme porter n’importe quoi. Tu te crées des emmerdes personnelles. Aimer c’est un art subtil de sélection et ça fait partie de la particularité de ton être. Quand tu viens au monde, tu aimes les gens en fonction de tes faiblesses. Quand tu deviens intelligent, tu aimes les autres en fonction de ta force. Tu ne les subis plus, c’est un amour libre. Avant c’était un amour conditionnel. Quand c’est karmique, c’est toujours une relation dominant/dominé c’est toujours en relation avec une faiblesse.

    Une guidoune c’est quelqu’un qui se vend, ça vit avec ses émotions. BDM pourrait dire que ceux qui font partie de la famille, c’est où il n’y aurait pas de trahison (la famille, au niveau esprit). La trahison, c’est tout ce qui t’emmène à devoir renoncer à un être, ce qui te force à renoncer. Leur trahison fait partie de la trahison. Ce qui fait partie d’un être et qui te force à le laisser, c’est de la trahison. Quand on a des attentes et que l’autre ne répond pas à ton esprit, c’est un état d’esprit qui n’est pas présent à un autre esprit, quelque part dans le temps il y aura trahison. Si un esprit ne rencontre pas un autre et qu’il a eu l’éducation, à ce moment-là il y a trahison. Ce qu’ils veulent dire : c’est un esprit qui lui a été donné tant de temps pour être en harmonie avec l’autre esprit.

    ‘B’ trahit ‘A’ par son incompétence psychologique. Techniquement BDM sera trahi toute sa vie. Il se laisse trahir pour rendre possible une relation humaine jusqu’à un certain point. C’est où il n’y a pas d’usurpation des droits de l’homme, donc la liberté, manque de respect, domination. S’il y a eu grossière déception, il y a eu trahison. Chaque individu a un système de valeurs. L’absence de respect, domination ou les droits de l’homme ont été usurpés. Culture = âme = personnalité. Derrière ça on suppose qu’il y a de l’esprit.

    Même si on aime quelqu’un, il va toujours nous trahir. Tu peux supporter d’être déçu mais pas d’être trahi. Chaque personne a son niveau de trahison. Pour BDM, la trahison serait quelqu’un qui fait mal à un autre. BDM, son travail c’est d’emmener du monde ensemble. À Roche Sauvage, si BDM dit aux gens de prendre soin des autres et si l’autre prend du pouvoir, qu’il pense que le club va tomber s’il n’est pas là, il va le flusher. Pour BDM c’est de la trahison. Liz, quand elle met sa fille devant BDM, au lieu d’avoir la décence de placer sa femme devant lui.

    C’est l’orgueil qui est le modus operandi de la trahison. La trahison ce n’est pas une projection, c’est une conséquence. Chacun a son enfer, c’est tout ce qui est connecté à ses craintes (perdre sa femme, sa job). Il faut faire la gestion de sa crainte. Les hommes qui trahissent n’ont pas été capables de faire la gestion de leur enfer, c’est ce qu’on appelle se connaître soi-même. C’est-à-dire contrôler les pensées qui nous passent dans la tête. Une trahison c’est une incapacité de contrôler ta crainte. Une personne qui trahit c’est une personne qui se trahit. Si BDM est trahi, il va sortir un principe qui fera partie de l’instruction. Il prend l’expérience et lui donne une science. BDM n’est pas honnête, pas généreux, il ne fait pas partie de la culture humaine. La trahison, c’est irrécupérable. Il faut protéger le monde de sa grosse vibration. Ça devient con de récupérer quand ça ne rend pas l’autre libre (Ménard récupère).

    BDM coupe parce qu’au moins l’autre va apprendre quelque chose parce que si il était là il ne comprendrait pas. Quand tu récupères quelqu’un, c’est que tu es stratégique parce que tu veux encore faire un petit bout de chemin avec eux. Par principe, récupérer c’est donner du temps. Il faut que tu saches où tu t’en vas. Il y a des gens qui ne sont pas récupérables. Quand tu n’as pas de respect et que tu domines, tu élimines les droits de l’homme. C’est là que tu tombes sous les lois de la dictature. La domination c’est totalement luciférien, en tant que principe cosmique. C’est de la lumière qui n’a pas été intégrée. Quand elle est intégrée, la domination devient de la protection. Elle est transmutée en protection. L’amour de l’homme permet l’intégration. Pour faire le passage, il faut aimer.

    Être bien avec une personne, c’est un avantage. Pour être bien avec une personne, il faut que tu aies accès à l’intimité de son esprit. Quand BDM est seul avec Christine, il peut entrer dans l’intimité de son esprit. C’est un avantage, ce n’est pas une situation causale. Aimer, ça ne veut pas dire être bien avec, mais être bien avec, ça veut dire aimer. Ça ne veut pas dire qu’on est bien avec l’autre tout le temps. Quand tu es bien avec l’autre tout le temps, ça serait de l’amour. On s’occupe plus de la survie de quelqu’un quand on l’aime, pas quand on est bien avec.

    BDM aime bien Bonneville mais pour être bien avec lui il va être obligé de faire des conditions. Il va être obligé de dire ‘oublie-moi, je ne suis pas Bernard’ (ne pas être impressionné par lui). Le problème du couple c’est que tu l’aimes mais tu n’es pas bien avec. Dans un couple tu dois être bien avec avant d’aimer. C’est une conséquence.

    Coco (Jacques Dussault) ne va jamais s’avancer trop, lui dire tout, même cacher tes petites affaires pour ne pas inquiéter, ça crée un profil psychologique qui est connecté à la crainte, à la déception. Le ‘spark’ entre deux êtres, c’est toujours l’invitation au désastre, sans qu’ils ne le cherchent, mais ils le recherchent. L’être inconscient cherche le spark et est confronté au problème de ne pas aimer n’importe qui. C’est la recherche astrale. Dans la vie tu rencontres toujours la personne en fonction de ton niveau de conscience.

    Si BDM aurait été inconscient, il n’aurait pas vu Pierrette. Dans le connecté au spark, il y a possibilité d’expérience. C’est le bien ensemble qui doit être le point focal de la relation. La passion c’est du spark. C’est l’attrape-ego, attrape-nigaud. On a des critères parce qu’on est inconscient. C’est connecté à la déception les critères. Christine, si elle rencontre quelqu’un, il faut qu’il ait un grand respect de sa personne. Ce n’est pas un critère, c’est une mesure d’elle-même transférée à l’autre. La personne doit être un meneur, pas dans le sens de dominer, pour que ce ne soit pas elle qui mène. Elle veut avoir la possibilité d’expérimenter le monde, c’est une façon pour elle de ne pas s’ennuyer de l’autre. Il doit lui faire découvrir le monde. Il ne doit pas avoir de gêne mais être poli. S’il y a de la gêne, il y aura de l’impuissance. S’il n’est pas poli, il est trop brutal, donc pas de respect de sa personne, c’est un besoin pour sa sensibilité, ce n’est pas un critère. Pas de critères parce que pas d’insécurité. Si tu veux que ta femme ait un PHD pour qu’elle soit sur ton niveau, c’est que tu as de l’insécurité. C’est la recherche de l’équilibre.

    On est des êtres de culture, donc automatiquement notre spark est un spark culturel. Les américains ont créé une image du couple. On a une image culturelle de ce qu’un couple est. Quand tu es conscient, que tu deviens transhistorique dans ta conscience, tu es bien dans un autre mode, plus réel et moins apte à faire souffrir. Bien avec quelqu’un ça va des deux bords. Il y a bien des hommes qui sont bien avec leur femme et ils ne savent pas que leur femme n’est pas bien avec eux autres. Avec ta grosse vibration tu peux être bien avec ta femme mais elle peut ne pas être bien avec toi. Il faut toujours vérifier comment l’autre vit ta vibration.

    Claude Brousseau, il ne faut pas qu’elle soit psychologique fatigante. Il ne faut pas qu’elle harasse amoureusement. Il ne faut pas qu’elle lui impose son silence trop longtemps ou que ça pique trop souvent. Autrement dit, (les forces) on lui en cherche une.

    Régénérer veut dire ne pas perdre d’énergie. Si on dit ‘quand je suis avec une femme, il faut que je me régénère’, à ce moment-là on tombe dans les critères. Il est mieux de dire ‘avec elle je ne perds pas d’énergie’ plutôt que de dire ‘avec elle je me régénère’. On ne doit pas mêler critère avec sympathie vibratoire. On pourrait dire qu’il y a des critères vibratoires (des seuils de conscience avec lesquels il ne doit pas y avoir trop d’interférences). Les critères psychologiques, il ne faudrait pas qu’une femme soit trop casse-pied. Vibratoire fait partie d’un rythme de vie (ex. tu dis ‘on vas-tu à Paris’ et l’autre dit ‘oui’). C’est le rythme de vie. Il y a un principe de vitalité, une personne allumée.

    Les cinémas, c’est l’optimalisation de votre impuissance (ex. une personne frustrée va voir des films où on se donne des coups de poing sur la gueule). Quand c’est connecté au rythme, tu optimalises ta vie (ex. BDM a sorti quelqu’un de sa vie parce que la personne ne voulait pas salir sa robe lorsqu’il lui a demandé de faire un tour de cheval). Quand le rythme est intelligent, il est transféré à ton esprit. Si tu fais un voyage, tu vas l’aimer autant que l’autre.

    Le cinéma c’est l’optimalisation de notre impuissance. Les critères vibratoires c’est ça qui tue l’ennui. Dans un couple, il y a un niveau de platitude. Ça fait partie des lois du couple. Pour balancer ça, ça prend des critères vibratoires. La spontanéité est toujours appréciée. Tu le sais quand ton couple devient plate. La platitude d’un couple c’est fait pour te reposer (tu n’es pas obligé de lui parler, elle n’est pas obligée de te parler, tu peux lire ton journal), mais tu ne peux pas toujours être dans cette platitude. Un homme qui n’a pas la capacité de sortir sa femme, déjà met son couple en danger. L’argument classique : ça coûte trop cher, tu ne l’habilles pas, etc. Pourquoi t’es-tu marié?

    Les critères vibratoires sont à la mesure de nos moyens. On peut aller chez Dunkin Donut ou Dunn’s et penser qu’on est riche. Un couple c’est un éther mental matérialisé. Pour pouvoir faire un couple, il faut que tu aies des ressources mentales, sinon tu vis le traumatisme du couple. Si tu n’as pas de ressources mentales, tu peux épuiser tes ressources matérielles. Ce n’est pas un avantage d’avoir un couple si tu n’es pas capable de le rendre permanent parce que ça paie in the long run, c’est du long terme. Tu dois avoir des ressources mentales pour le conserver. L’homme est plus fragmenté psychologiquement que la femme, donc c’est lui qui a plus la responsabilité dans le maintien de son couple : colère, vibration dominante, victime matérielle pour la survie (travailler), son attachement serré à travailler font partie de la fragmentation.

    Un homme qui ne vit pas d’amour ou une certaine reconnaissance (même d’un chat, qui apporte de l’attention), devient déphasé. Les animaux contribuent à la stabilisation des forces éthériques. L’animal, en échange d’être nourri, il va t’aimer. Un être qui n’a pas la capacité de retourner l’amour, n’a pas le droit universel d’être aimé. Il y a des planètes où, si tu n’es pas capable d’aimer, de participer à un principe d’amour particulier à ces planètes, peuvent être exclus de ces planètes, donc dématérialisés.

    Il y a différentes définitions de l’amour : dans la région de Beta de l’univers, l’amour dans cette région est basé sur la capacité des êtres de ne pas entraver le développement biologique d’un autre (parce que dans ces mondes la pensée a une force). Dans la région de la constellation d’Orion, les intelligences vont être capables de créer des fantômes énergétiques, des robots. S’ils n’ont pas ça, ils vieillissent très vite. Ils vibrent leur énergie mentale pour le transfert de leur énergie.

    L’amour est différent pour chaque civilisation. Pour nous, c’est un concept affectif parce qu’on a des corps biologiques, tandis que dans d’autres civilisations ils ont des corps biologiques clonés. Pour nous c’est connecté à notre sécurité tandis que pour eux, c’est un principe. L’amour manipule les énergies et emmène les gens ensemble. Tu as toujours l’amour en fonction de la nature de ta pensée. Dépendant du niveau de conscience, ils vont s’éloigner des gens pour se rapprocher d’eux. Tout dépend de la source de notre pensée.

    Tu as l’amour qui va avec ta pensée. Il y a certains ajusteurs de pensées qui font partie de l’univers local, c’est un être qui a deux rythmes cosmiques. Il vient ensemble (pour travailler) quand tu viens au monde, et se sépare (fragmente) quand tu meurs. Quand on pense, ils viennent ensemble, c’est ce qui crée notre identité. Quand ils s’éclatent, c’est pour ça qu’un homme meurt. Quand on vit un choc, plus rien n’a d’importance, tu perds l’équilibre et on goûte un petit peu à la mort. Ça devrait être utilisé par l’homme pour se construire un corps mental inébranlable.

    Ne pas aimer n’importe qui, ça veut dire ne pas vibrer des émotions comme le reste de la civilisation, et ça, ça te donne une conscience supérieure. L’homme ne vit pas assez de solitude aux niveaux psychologique et psychique, donc ne se découvre pas d’identité très vite. Il est dominé par les aspects psychologiques de la culture. Plus elle se développe, plus tu as accès à l’universel. Plus tu es capable de supporter l’isolation de ta parole (ce que tu sais), plus tu peux entrer dans des mondes et goûter à ces mondes. Ils vont te visiter et tu peux entrer en dialogue avec eux.

    Pour qu’un homme se guérisse lui-même, il faut les défier. BB les a défiés avec le crayon. Il les a forcé à lui parler. La plume, au niveau médiumnique, c’est un éclair de lumière. Au niveau de la parole, il se met en focus et ils peuvent le couper. Avec la plume, si l’homme était réellement conscient de la médiumnité de la plume, il pourrait faire sortir le réel. La plume c’est un outil contre les forces lucifériennes. Dans la plume il n’y a pas de pouvoir. Il n’a pas le temps, au niveau ego, d’astraliser l’information. Il n’y a pas de raison que l’homme se serve de nous autres pour instruire l’homme. Il y a probablement des lois vibratoires que pour aller dans l’occulte, il faut utiliser la plume. Notre tête nous appartient tandis que le tableau leur appartient, c’est leur outil. Ils peuvent dire n’importe quoi sur le tableau et à ce moment-là on rentre dans des couches.

    Quand vous aimez n’importe qui, vous vous opportunisez et vous payez le prix. Quand tu deviens très sélectif, tu t’enrichis. Tu violes les lois de la culture, dans un sens. Quand on est en survie, il faut faire attention parce que vous avez plus de chances d’aimer n’importe qui. Quand on a été victime d’un manque d’amour, quand tu es aimé, on n’a pas le besoin d’être aimé ou d’aimer n’importe qui. Être aimé c’est comme avoir un gros compte en banque. Plus tu es aimé, plus tu as une chance d’être réellement autonome.

    Dans la capacité de faire un couple, on va vouloir être aimé comme on n’a pas été aimé. Il y a beaucoup de compensation dans un couple. Si un homme n’est pas capable de prendre soin de sa femme, il vieillit très vite. La femme, pour être créative, il ne faut pas qu’elle ait de tensions. Elle est capable de passivité (pas morose – faire ce que tu veux, où tu veux, quand tu veux). Le travail chez l’homme c’est maladif, tant qu’il ne l’a pas ajusté. Pour la femme, l’amour, c’est maladif. La femme a besoin d’amour parce que l’homme a besoin d’argent. L’amour c’est sa raison d’être. Si elle est intelligente, l’amour devient sa sécurité. Comme l’homme, s’il a une bonne job, ça devient sa sécurité. La femme, si l’homme ne remplit pas ses besoins affectifs, elle est en manque et devient malade.

    Ce que la femme reproche le plus à l’homme, c’est la domination parce que ça l’étouffe. Sa domination fait partie de sa raison d’être et de penser d’une certaine façon. C’est à la femme de casser ça, en disant une affaire d’argent, c’est une affaire d’énergie mentale. L’homme, par insécurité, n’aime pas quand la femme dit : ‘On devrait aller ici ou là’. Pas une femme ne résiste à la surprise quand c’est bien fait, sinon, elle résiste à une vibrati; ‘Où veux-tu aller?’, tu fais travailler l’autre au lieu de dire : ‘Mets tes culottes et on sort’. Ce n’est pas on. Une femme aime ça vivre.

    Ménard dit: ‘Quand tu aimes il faut que tu aies les moyens. Si tu n’es pas dans une position physique ou sociale pour bouger’.
    Une femme c’est capable d’attendre après un homme si elle sait qu’il a du potentiel, il faut qu’il délivre. Il doit avoir des ressources mentales, de la qualité de présence, et ça vaut un portefeuille, même si tu n’as pas d’argent. La qualité de présence ça fait partie de l’amour. L’esprit qui aime est présent, il a de l’attention, de la délicatesse et ça prend une volonté, une présence d’esprit pour le faire. Tu ne le fais pas malgré toi, il y a un plaisir à le faire. Ce n’est pas stratégique.

    Ménard dit : ‘Si une femme te dit : c’est ta qualité de présence que je veux’, l’homme part en son monde et pense : ‘une femme il faut qu’on la devine’, ce n’est pas clair.
    La femme n’a pas besoin d’être claire, sa capacité de revenir à toi, la poursuite de sa relation avec toi, ça fait partie de ta clarté. La femme, si elle expose trop l’appréciation qu’elle a de l’homme, l’homme va penser qu’il est manipulé et aura peur d’être contrôlé. C’est pour ça qu’elle est mystique, mystérieuse. L’homme joue de stratégie quand il sait qu’il est apprécié ou que la femme aime certaines choses de lui. La femme n’a pas le pouvoir matériel, elle n’a que sa sexualité et sa beauté. Elles sont démunies et à la remorque des hommes. L’homme a le pouvoir de sa matérialité, mais n’a pas l’intelligence.

    Le pas clair des gars : c’est que quand une femme s’ouvre à un homme, les hommes ne reviennent pas avec la candeur qu’ils devraient avoir. Les femmes sont rendues tough parce que les hommes n’ont plus d’allure.

    Quand tu as un couple, si tu perds ta femme ou ton mari, tu perds un gros morceau parce qu’il y a du dorlotage. Si Milot est intelligent, il saurait que c’est normal pour la femme de dorloter. Ça aime ça faire des petits plaisirs à un homme. L’homme a besoin d’être dorloté parce qu’il est un bébé et c’est sa relaxation. La femme comprend ça intuitivement. Un homme aime ça se plaindre pour avoir de l’attention. Si elle lui dit qu’elle l’aime, il a l’impression qu’elle l’accroche. Si elle lui donne de l’attention, ça fait son affaire. L'homme n’est pas aussi willing que la femme de se soumettre à l’autre. C’est le problème fondamental de l’homme et de la femme. Le principe de l’homme, ce n’est pas l’amour : il aime la femme par contagion. Elle l’aime, donc il l’aime. La femme ne s’attend pas à ce que l’homme l’aime par contagion, elle s’attend à ce que l’homme réponde à son amour (par de l’attention, de la considération).

    C’est le lendemain matin, après l’amour animal, que la femme a une déception de l’amour car c’est là que l’homme n’est plus là en tant qu’esprit. Elles laissent les émotions interférer avec la sexualité, elle devient victime de l’amour. L’homme peut être victime de l’amour si la femme est volage, c’est alors lui qui souffre la condition de la femme. L’homme n’y est pas habitué, ça lui crée un choc dans l’ego.

    Une des grandes tensions de l’homme, quand tu es jeune et libre, ça te dérange quand tu sais que la femme a été prendre un milk shake avec un autre. Mais une fois qu’elle est mariée et qu’il la supporte, les règles du jeu changent. En tant que principe, quand tu es marié, il y a des privilèges et des obligations et tu ne peux pas aller prendre un milk shake avec un autre. La femme ne peut pas être 2ème pion et l’homme non plus. Il faut toujours se protéger émotionnellement. Tu penses que c’est clair, mais ça ne l’est pas toujours.

    Ce qui est le plus corrosif dans la relation entre deux individus, c’est l’infidélité. Dans une relation humaine, tacitement ou non tacitement, vous établissez qu’il y a fidélité entre vous. Ça peut être basé sur le respect des individus, sur la sensibilité du respect, la sexualité. L’engagement c’est psychique entre deux êtres. Quand tu es marié, tu n’entretiens pas de lien d’intimité avec d’autres. Si la qualité de temps que tu donnes à ton conjoint est meilleure à l’extérieur, le couple ne durera pas longtemps.

    L’homme vit à deux niveaux : psychologique et vibratoire. Au niveau de la dimension psychologique, il va établir les règles de la fidélité. Au niveau vibratoire, il y a des choses qui doivent être réglées qui sont en dehors de la conscience de l’ego, qui font partie de l’expérience de l’âme. La fidélité sert au maintien de l’ordre émotif. Homme ou femme ne seront jamais sûrs du contrat de fidélité du karma de l’homme ou de la femme. Ça n’existe presque pas dans l’expérience humaine. Elle aura été fracturée en secret ou ouvertement, dans un mouvement de 20 à 60 ans. Arrêtez de prendre l’être humain pour un saint. La sainteté c’est un appel au péché. La fidélité n’est pas la mesure de l’amour pour l’amour. C’est le test ultime de l’amour. Un couple qui n’a pas été testé dans l’infidélité ne connaît pas l’étendue de son amour. Il vit ça pour éliminer sa programmation. Dans toute fidélité il y a de l’hypocrisie en potentiel.

    Si deux êtres sont sur une île et qu’il ne se passe rien, c’est qu’il y a un problème psychologique, parce que l’éther, tout est là. La fidélité ou l’infidélité, c’est un problème de culture. Il y a moins d’hypocrisie en Europe qu’en Amérique. Ça fait partie des classes élitistes européennes, parce que la monogamie a été instituée pour empêcher la dissolution des classes. Tu vis toujours ta fidélité ou ton infidélité par rapport à la société. Ça n’a rien à voir avec ton expérience karmique. Les êtres qui vivent à l’intérieur ou à l’extérieur de la fidélité ou de l’infidélité ont autant le droit que les autres.

    Le phénomène de l’infidélité c’est pour montrer à l’homme jusqu’à quel point il a de l’émotion dans le mental. La sexualité a été utilisée pour la souffrance psychologique de l’ego. Il y a des êtres qui sont prédisposés à la fidélité, karmiquement, et vice versa. Tu ne peux pas juger sur son expérience karmique. L’âme c’est plus fort que la police. Nos limites psychologiques sont toujours culturelles.

    La fidélité ou infidélité c’est un problème d’homme plutôt que de femme. La femme est monogame plus que l’homme. Elle est sensuelle plutôt que sexuelle. L’homme est devenu monogame à cause de la société. L’homme a plus de propensités à l’infidélité. Ça fait partie de sa nature vers la sexualité que la femme. L’émotion et la sexualité fait partie de la femme parce que c’est elle qui protège la famille et les enfants. L’homme est beaucoup plus infidèle que la femme.

    Dans les années à venir, au 21ème siècle, il y aura autant d’infidélité du côté de la femme que du côté de l’homme parce que la femme sera plus mentale, elle y mettra moins d’émotions. Ils seront obligés de s’en sortir pour faire un couple. La sexualité joue les forces de l’âme et c’est fait pour la sécurité de l’ego.

    Les Garceau, c’est des dinosaures. Ça ne se faisait pas. Il n’y a pas grand monde dans la population québécoise qui n’a pas eu une petite affaire. C’est intelligent de mentir pour ne pas détruire un vieux couple. Par respect pour Denise, André ne le dirait pas.

    Edgardo, jamais il ne le ferait, ça serait une insulte à la fierté de sa femme. Il y a des êtres qui n’ont pas besoin d’être testés pour des raisons qui leur sont cachées. L’emphase qu’on met sur la sexualité sur notre planète crée des déformations psychologiques. Plus l’homme va avancer dans son évolution, ça n’existera plus la monogamie. C’est purement terrestre. Ça sera tout organisé par les gouvernements qui ne font pas partie de la terre. C’est des liens karmiques qui sont brisés, éclatés.

    Dans les années ’80, il y avait trop d’homosexualité. C’était un free for all. Le sida régularise cette situation. L’humanité est en mutation. Il y a des êtres qui n’ont pas à vivre ces souffrances karmiques parce que les forces de l’âme sont très fortes. Tu ne peux pas empêcher les forces de l’âme de fracturer la lumière. Dans le passé, la crainte empêchait l’infidélité. Aujourd’hui, c’est un défi. Le respect par rapport à la sexualité c’est un système de valeurs que vous vous donnez. BB n’est pas en train de dire qu’on doit courailler.

    Dans l’infidélité il y a des expériences karmiques qui sont au-dessus du jugement psychologique. BB ne préconise pas l’infidélité. Il dit que ça fait partie de l’expérience de l’âme et n’a rien à voir avec l’amour que tu peux avoir pour ton mari ou ta femme. La femme vivra l’infidélité parce que les contraintes ne sont plus là. Il n’y aura jamais de règles dans une civilisation suffisamment puissante pour empêcher la pénétration des forces occultes. Lorsqu’il y a infidélité, ça permet d’aller plus loin et permet l’union de deux esprits pour l’évolution du couple afin de transmuter à un autre niveau, s’ils le supportent. BB dit que c’est toujours une expérience karmique. Ce sont des projections dans le temps, qui sont très loin. Ce que BB dit n’impose pas d’obligations, il ne faut pas courir après.

    L’homosexualité fait partie du karma de l’âme. C’est une expérience d’âme. Les êtres ont des rythmes vibratoires très différents. C’est souvent à ce moment qu’il y a infidélité. C’est une énergie de l’âme. Pour certains, il faut que ça bouge. Ils veulent vivre à la pointe de leur vibration. L’homme ne peut pas juger psychologiquement du rythme vibratoire de certains individus. Il y en a qui sont de même, ils ne peuvent pas se permettre que leur vie soit trop plate. Ils n’ont pas peur. Ils gardent toujours le contrôle. Ils ont toujours des solutions. Ils vivent toujours un petit peu à l’extérieur de la normalité sociale. Ce sont des marginaux. Et ça prend du monde comme eux autres pour faire l’évolution. Ils fracturent la forme. Ils sont blâmés pour, ensuite ils sont adulés pour. Les autres permettent de maintenir le gouvernement. Ils sont tous les deux nécessaires.

    Vous n’êtes pas capables de juger de la vie parce que vous êtes toujours un petit peu dans de la culture. L’homme conscient va être marginal en fonction de son rythme. On peut aller aussi loin qu’on veut en fonction de notre sensibilité et de ce qu’on est capable de supporter. Tu es au-dessus complètement de la conscience et de la culture sociale. Ça ne veut pas dire que tu n’es pas un être bien, ça veut dire que tu es un être différent.

    La liberté est la liberté dans la tête, pas dans l’action. Quand l’homme traitera avec sa conscience personnelle, il sera emmené à poser des gestes dans sa vie, qui feront partie de sa liberté (pas libertinage), et il sera obligé d’en supporter les conséquences. Ça ne veut pas dire que BB supporte le ‘bunjie’, ça veut dire que ça fait partie du mouvement vers une plus grande liberté. Tout ce qui sous-tend de la culture sera renversé dans son expérience. BB ne parle pas NOW. La psyché sera transformée. Tout sera libre dans ce temps-là. L’homme vit des expériences pour tester son émotivité et son mental. Pour le moment, c’est tout ce qui touche à la sexualité.

    Ce qui était marginal dans une génération, devient normal dans l’autre. 

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    Le couple cosmique

     

    Le  couple  cosmique 

     

    LE COUPLE COSMIQUE

    Selon les lois de l’Energie, l’Union de deux Êtres se fait par une réorganisation de leurs corps énergétiques. Le couple cosmique est une entité divisée en 2 parties sur le plan matériel, qui se raccordent dans une même Unité lumineuse sur le plan éthérique et ne peut donc pas être divisée. Elle œuvre à l’intérieure d’une synthèse lorsque sur le plan matériel, les deux Êtres ont illuminé les distorsions du mental, de l’astral, de leurs mémoires karmiques. C’est une entité qui montre le pouvoir de l’Esprit sur la matière et de la matière sur l’Esprit.

    Le couple traditionnel connu sur Terre n’est pas cosmique mais planétaire, humain, imparfait, mortel, mental et sentimental. Il ne peut pas durer sur le plan éthérique et sera brisé par la mort ou séparé dans la Vie afin que les parties complémentaires du véritable couple cosmique puissent se réunir en accord avec la loi de l’évolution. Dans le couple cosmique, le sentiment n’existe pas au sens où le sentiment fait partie de la conscience astrale, insécurisante et inférieure de l’être humain.

    Tant que l’être humain ne connait pas suffisamment les lois de l’Energie, il ne peut pas s’opposer à son esprit sur le plan matériel, comprendre les aspirations de son Esprit Supérieur et appréhender la Conscience du couple cosmique. A cause des voiles de l’égo, un être peut facilement croire qu’il a rencontré son partenaire cosmique ou se fourvoyer à rencontrer un partenaire planétaire qu’il devra quitter pour entrer dans une autre expérimentation, celle du couple cosmique, parfait et immortel par son caractère transcendantal.

    Dans son organisation sociétale actuelle, l’humanité est basée sur le couple planétaire : c’est un couple expérimental qui sert l’évolution de l’être afin d’ouvrir sa conscience. Pour cela, il créer un champ vibrationnel dans le mental ou l’émotionnel afin de briser les barrières émotives qui maintiennent l’Homme dans la domination de la matière sur l’Esprit. Il s’agit donc d’une expérience terrestre permettant de perfectionner l’Être pour l’éveiller à sa nature profonde, supérieure et cosmique.

    Quand l’Homme entre dans sa conscience cosmique et parvient à aller au-delà des voiles d’illusion et d’ignorance, il peut entrer dans la Création de son Couple Cosmique. Ce couple ne peut pas être imposé planétairement, par une conception conditionnelle et limitante liée à la matière. Le couple cosmique s’incarne dans l’éther, par une Conscience double à l’intérieure d’une Unité simple, élevant la qualité de ses sentiments par l’intelligence au-delà des limites du mental et de l’émotionnel. Pour être unit sur les plans énergétiques avec un être, il faut s’élever au-dessus des limites de la matière, incorporer le yin dans le yang, l’Esprit dans la matière et ne plus souffrir du pouvoir de l’esprit sur le plan matériel, c’est-à-dire être en parfaite harmonie, sur les plans mental, émotionnel, vital et physique.

    L’Être Humain n’a pas connaissance des lois des énergies. Pour les êtres cosmiques, suffisamment avancés dans leur intelligence et développés dans leur volonté, il y a Unité de Conscience sur tous les plans inférieurs de l’Être Humain, mental, émotionnel, vital et physique. Un couple cosmique ne peut pas se former si l’une des composantes de l’être planétaire n’est pas accomplie. Il faut donc que les deux partenaires soient unifiés et harmonisés sur les plans inférieurs en eux-mêmes pour s’unifier et s’harmoniser avec l’autre et former une Unité de Conscience. Il devient une Source Universelle incarnée d'Amour Pur et d'Unicité, volontaire et intelligente, au service de l'humanité pour le bien de tous les Êtres.

    Un être peut réaliser le couple cosmique que s’il réalise sa Conscience et l’Unité entre l’Esprit et l’égo. Il faut dépasser la phase de l’évolution pour entrer dans la phase créatrice où la force de l’Esprit doit s’opposer aux forces extérieures involutives qui cherchent toujours à empêcher la formation d’un être accompli et de surcroit d’un couple cosmique.

    S’il n’y a pas parfait équilibre ou harmonie dans le couple, l’être humain doit réaliser qu’il ne s’agit pas d’une relation parfaite cosmique mais planétaire imparfaite, même s’il s’agit d’une relation importante et avancée planétairement. Ceci est subtil, car pour qu’il n’y ait pas d’interférence entre l’Esprit et la matière, il faut que l’être soit suffisamment intelligent et dans sa volonté de comprendre les lois de l’Esprit.

    Le couple cosmique représente la fin de l’évolution des relations planétaires assujetties et disharmoniques, pour entrer dans l’évolution cosmique du Nouveau Monde, dans la Création, au nom du droit à l’Êtreté, grâce à la connaissance des lois de l’Energie et contre les forces extérieures involutives.

    Quand l’Esprit rencontre la matière, il se crée un lien éthérique, le double éthérique (énergétique et physique) qui unit la force de l’Esprit à la matière. Ceci forme une Unité. Quand deux Esprits se rencontrent dans leur double éthérique, ce sont des forces actives et créatives qui génèrent le pouvoir de l’Amour des Initiés, se reconnaissant par leur Ether et non par leur matière, contrairement aux relations planétaires.

    Ainsi, il faut avoir conscience que deux Êtres cosmiques font partie d’une même Unité : les partenaires sont construits de la même façon sur le plan énergétique pour former ensemble une unité indivisible, qui ne peut pas être le produit d’une convention ou d’un besoin social, expérimental ou karmique, mais le fruit de la volonté supramentale et cosmique sur la Terre.

    Le couple cosmique est une réalité nouvelle pour l’être humain qui sera comprise au fur et à mesure de son expérience et de son évolution, par l’Unicité de l’Esprit et de la Matière. L’être humain doit comprendre que le couple planétaire fait partie de son expérience terrestre transitoire et non de son évolution cosmique. S’il doit réaliser son couple cosmique alors il le saura et il devra le réaliser. Viendra le temps dans son évolution, où l’être humain ne pourra plus se mentir avec les sentiments des plans inférieurs face à l’Union de l’Esprit et de l’égo conscientisé (l’égo étant rendu intelligent et volontaire, au service de l’évolution), pour créer la 3ème Conscience : l’Amour Universel. L’Amour est une quantité de vouloir et de pouvoir de Conscience cosmique, seul capable de rendre l’Homme heureux sur Terre, afin qu’il y ait équilibre et harmonie entre le mental, l’émotionnel, le vital et le physique.

    Discours de Bernard de Montréal, extrait de la Vidéo YouTube « Le couple Cosmique – CP #91BDM »


    Pour comprendre Bernard de Montréal, il parle de :
    - l’Esprit (=Conscience ou Soi ou Mental Supérieur, être cosmique) et de l’esprit (=mental inférieur, égo, personnalité, être planétaire)
    - l’Homme au sens l’être humain et non du genre (sauf s’il précise l’homme et la femme)
    - l’Unicité, soit des énergies cosmiques de polarité opposée et complémentaire (yin et yang), soit de l’Unicité du double cosmique par la descente de l’Esprit dans la Matière, c’est-à-dire la fusion de l’éthérique (support énergétique du corps physique) et du corps physique lui-même, soit de l’Unicité du couple Cosmique, deux Esprits dans un double éthérique, « une conscience double dans une Unité simple ».

    Ce résumé est  réalisé par  Mélanie Chavret 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=rQdo_XdN2K4&feature=share

     

    Vidéo Bernard de Montréal   Le couple cosmique 

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    Nouvelle Lecture Des Signes Du Zodiaque   de Marie-Elise Sivignon  Format Broché

     Conférence  :  L'ASTRODYNAMIQUE®

                                                     Animée par Marie Elise SIVIGNON                                                Auteur - Interprète de l'Astrodynamique®  

    L'Astrodynamique® est une combinaison innovante du développement personnel

    Sur la base de vos deux signes connus - solaire et ascendant -  un troisième signe personnalisé vous est révélé 

    Celui-ci dévoile vos potentiels cachés et vos talents enfouis

    La but de la conception des trois signes en Astrodynamique® est de vous transmettre  une aide à la découverte de Soi :

    - Réaliser ses aspirations profondes en repérant ses propres domaines de plénitude  (Qu'est ce qui me rend vraiment heureux  et contribue à mon équilibre ?)

    - Découvrir l'Etre unique, confiant qui réside à l'intérieur de soi

    - Déchiffrer les obstacles et les défis  pour atteindre ses objectifs de Vie .....

    Un sujet passionnant , de nouvelles clés révélées ! ... C'est avec  un grand plaisir que Marie Elise répondra à vos questions.

    Le jeudi 11 octobre  2018 à 19h00

    Lieu : Librairie Derain 25 rue Bugeaud 69006 Lyon 

    PAF : 8,00 euros 

    Réservation obligatoire  : Librairie Derain : 09 53 70 01 58  

    Vous pourrez  vous procurer le premier livre de Marie Elise Sivignon : "Nouvelle lecture des signes du Zodiaque" Editions Beaudelaire 

    A paraître prochainement : L'Astrodynamique®

     

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